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Congomonpays.
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  • Ce qu'on appelle union, dans un corps politique, est une chose très équivoque; la vraie est une union d'harmonie, qui fait que toutes les parties, quelques opposées qu'elles nous paraissent, concourent au bien général de la société...Jean Bertin L.L
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14 mai 2008

HYPOCRISIE DE LA CLASSE POLITIQUE BELGE

HYCLAPOBEL(HYPOCRISIE DE LA CLASSE POLITIQUE BELGE)

«le rapport Maîtres-Esclave, c'est fini»....FINIE LA RECREATION.

Les réponses aux forfanteries de Karel peut être interpréter de la manière suivante: J'accepte la mort pour le bien de mon peuple,néanmoins ma tête coûtera chère, la RDC a droit au développement et sa population a droit à la vie donc, FINI LA RECREATION! «La prochaine fois, il y aura un incident» car les Congolais ne sont pas de sous hommes trop ce trop si c'était : «Au Soudan, en Angola, en Afrique du Sud, on les aurait chassés». 

BRUXELLES.
Corruption. Le mot est étalé à la une de toutes les gazettes du royaume - sauf «la Libre Belgique» qui paraît n'avoir pas trouvé une place dans l'avion ministériel belge pour faire voyager sa «spécialiste Congo».

«Corruption». D'où vient encore ce mot? On pensait avoir tourné le dos à cela, voilà que le passé nous rattrape. Ce pays est-il si corrompu? ça viens de la tête des Belges qui amalgament volontairement le néocolonialisme à la corruption, l'Esclavagisme au droit de l'homme, Souveraineté à la Dépendance.

Nous nous posons des questions depuis l'Etat Indépendant du congo qui veut dire Etat Individuel ou domaine privé du Roi Belge Léopold II de 1885 à 1908.

En 1908, la pression de l'opinion publique et les manœuvres diplomatiques conduisirent à la fin de la souveraineté de Léopold II et à l'annexion du Congo par la Belgique en tant que colonie, désormais connue sous le nom de Congo belge jusqu'au 30 Juin 1960: Qui opprime qui? Qui corromps qui? Qui Viole les droits de qui? Qui veut à perpétuité dominer sur qui? Qui vole qui?

Belges parlent des violations de Droit de l'homme au congo, sans fronter les yeux! Mais, nous posons la unième question à la Belgique de Karel: Assassiner un homme est-il un acte de charité ? si ce non, alors LUMUMBA a été assassiné par Qui? N'est ce pas vous les Belges, les defenceurs de Droit de l'homme qui l'ont assassiné. L'histoire nous enseigne que Le 30 Juin 1960, lorsque la Belgique proclame l'indépendance du Congo, Lumumba accède au poste de Premier ministre, mais il en sera très rapidement évincé et fut  arrêter et assassiner, avant de découper et de dissoudre sa dépouille dans de l'acide chlorhydrique.
Vous avez pendant des années soutenu notre regreté, le Maréchal Mobutu,vous l'avez entrainé à la corruption, aux voles et toute sortes d'abus pour vous servir  et non son peuple paradoxalement vous l'avez accusé de beaucoup de choses chaque fois qu'il vous demandait de penser aussi au peuple.


N'est ce  pas vous, les Belges qui ont appris à Mubutu la corruption et le vole au détriment de son peuple pour qu'il vous serve et après vous l'avez rejeté vrai ou faux? Donc ça ce le Droit de l'homme! Hein!! Faire souffrir tout un peuple pour vos intérrêts personnels, c'est le Droit de l'homme? Qui berne qui? OOOh non, FINIE LA RECREATION! Laissez nous LIBRE, au diable vos tutelle. On ne pas mineur.
Si vous voullez assassiner Joseph Kabila comme vous l'avez fait avec Lumumba et Laurent D.Kabila alors la Belgique sera pour les Congolais ce que le Diable est pour Dieu.

Vous avez dit: _ Lumumba vous a déçu, la solution pour vous c'était Mubutu, ce dernier mourrant, vous l'avez  poignardez au dos_ par la trahison et l'ingratitude comme pour bien l'achever...vient la rebellion que vous avez soutenu sans savoir que vous serez encore et plus déçu_Par celui qui vous a prouvé que la RDC n'est plus une propriété privé de la Belgique les robinets étaient fermés pendant trois ans. ,j'ai cité "L.D.Kabila.

Cependant, qu'il nous soit permis de vous dire que le temps est revolu et la RDC doit décoller donc FINIE LA RECREATION càd FINIE L'INGERANCE ne soyez pas sourds jusque là quand même. c'est l'Elu qui dirige, j'ai cité: "Joseph Kabila Kabange". «le rapport Maîtres-Esclave, c'est fini».

Si, Lumumba et LD Kabila vous ont déçu alors cette fois ci, c'est les 60 millions de Congolais, par la bouche de celui qu'ils ont donné le mandat,qui vous dit : C'est fini, c'est inacceptable, donc FINIE LA RECREATION. «le rapport Maîtres-Esclave, c'est fini». Enseignant-Elève, Epoux-Epouse c'est fini. Now the Game is over.

Il sied de noter que si  les congolais se divisent sur plusieurs points mais celui  de nos relations avec la Belgique tous, de commun accord nous disons "FINI LE  RAPPORT MAITRE -ESCLAVE".
OOOhhh KAREL le Belge, qui vous a établi juge au congo! Si vraiment vous en avez digne apportez moi des preuves.... «Si vous avez une liste avec des preuves incriminant des membres du gouvernement, de l'entourage du Président ou du Président lui-même, il faut me donner ces preuves, je prendrai des mesures. Mais je suis un homme juste, je n'aime pas l'arbitraire et je trouve que c'est à la justice de faire son travail». Ohhh Karel gucht! "Ingerance" ce mot ne vous dit rien Monsieur!

Président Joseph Kabila n'a -t-il pas raison quand il déclare au même «Soir»: «Il n'y a pas d'incident, car je n'ai pas voulu qu'il y en ait , il n'y a eu que le début d'un incident, quelque chose comme une provocation... Je sais seulement qu'en Angola, en Afrique du Sud, en Tanzanie, au Soudan et ailleurs, si la délégation belge portait un message comme elle l'a fait ici, elle aurait été chassée. C'est la dernière fois que j'ai accepté de recevoir une délégation porteuse d'un tel message. La prochaine fois, il y aura certainement un incident...»

Quel message donc le ministre belge est venu apporter au Chef de l'État d'un pays souverain - semble-t-il au nom du Gouvernement de sa Majesté le roi des Belges?

D'après ce qui se dit à Bruxelles, le ministre - flamand - des Affaires étrangères qui ne connait d'ailleurs pas la litote aurait accusé Kinshasa d'avoir vendu aux Chinois les mines du pays et d'avoir hypothéqué l'avenir de celui-ci. Le troc représenterait 10 milliards de dollars contre 70 milliards de matières premières. Les Belges auraient voulu savoir où est passé la différence.


Les Belges auraient fait état de leur mauvaise humeur sur au moins deux points: pourquoi le port d'Anvers - firme flamande - a débuté la réhabilitation du port de Matadi a-t-il perdu le marché face aux Emirats Arabes Unis?

Pourquoi le Congo n'a-t-il pas été reconnaissant - en concédant des parts de marché - à l'Europe qui lui a tant apporté dans le processus de normalisation politique? Kinshasa n'a-t-il pas fait montre d'ingratitude?

Pourquoi s'être endetté pour 10 milliards à Pékin alors que ceux-ci qui représentent la dette extérieure du pays vont être effacés grâce à l'accompagnement européen?

Last but not least, autre «point de friction» - reconnu par tous - De Gucht a interrogé le Chef de l'Etat sur le pourquoi de la suppression par Kinshasa du poste de rapporteur des Nations Unies pour les droits de l'homme.

Pour tout ce qui précede le Chef de l'Etat reponds à la manière d'un évangiliste Biblique Question par un autre
question.

Il reponds :«L'État congolais n'est-il pas souverain?

Nous prenons nos décisions en fonction de nos intérêts, de la politique de notre pays et surtout de son développement».

Sur le poste de rapporteur spécial: «Ici? Mais pourquoi chez nous et pas dans d'autres pays d'Afrique?

La situation est-elle tellement grave ici qu'il faut que quelqu'un soit toujours là à observer, à surveiller?

J'ai suivi les positions des ONG, belges et autres, mais je répète que c'est inacceptable.

Ce que je refuse, c'est qu'une sorte de tutelle continue à s'exercer sur nous.

Je ne refuse pas le droit de regard, car ici on applique la transparence.

Qu'il s'agisse des droits de l'homme, de la gouvernance, tout le monde peut regarder ce qu'il veut.

Je me considère comme le premier défenseur des droits de l'homme. Mais une tutelle, non, c'est inacceptable».

Le Chef de l'État a raison quand il déclare encore- au même «Soir»: «Je constate que chaque fois qu'une mission est dirigée par le ministre des Affaires étrangères, c'est avec beaucoup d'arrogance, comme si nos visiteurs venaient ici pour nom donner des leçons.

C'est inacceptable. Le Congo n'acceptera jamais cela, et surtout pas moi.

Un autre peut-être, mais pas moi.

Dans ce pays, on a versé le sang, et pour notre indépendance, et pour notre libération.

Je n'accepterai jamais de leçons de la part de qui que ce soit, qu'il s'agisse du ministre des Affaires étrangères belge ou chinois, peu importe.

La Belgique doit décider du type de relations qu'elle souhaite entretenir avec le Congo».

Est-il vrai cependant que la Belgique entretient une relation de longue durée avec le Congo?

«Oui, mais la Belgique est d'abord un partenaire. Moi, j'espère bien que la Belgique sera toujours un pays ami, un pays frère, avec lequel je n'ai personnellement aucun problème.

Mais une année et demie après les élections, on ne peut pas traiter avec la République démocratique du Congo comme si on était dans les années 90, qui ont été marquées par la conférence nationale souveraine, la transition, les guerres, etc.

Il faut savoir que le Congo a complètement changé, et c'est cela le point de départ: il y a ici un pouvoir légitime. Même avant, Je ne pouvais pas accepter que les gens puissent traiter avec notre pays comme s'il était encore une colonie...» 

Alors quoi réserve la Belgique pour la RDC de Kabila?

DES MEILLEURS COUPS.

Ceux qui, autour du Président poussent, acquiescent, ne seraient-ils pas les mêmes qui comploteraient? Qui ne sait que les meilleurs coups portés contre l'ennemi sont ceux qui viennent de l'intérieur?

Lors de la guerre de l'Afdl, combien de ceux qui mangeaient avec Mobutu n'étaient-ils pas les mêmes qui refilaient les plans de guerre à «l'ennemi»?

L'ambassadeur de Chine à Kinshasa n'a-t-il pas déclaré récemment: «Nous sommes tout sauf des naïfs»? Comme qui dirait qu'il y a des naïfs;  Congolais ou Belges qui ?

Alors que cachent exactement les rodomontades belges proférées la semaine dernière à Kinshasa? L'histoire des relations belgo-congolaises l’atteste : lorsque Lumumba a osé affirmer héroïquement la souveraineté réelle du peuple congolais dès le premier jour de l’indépendance du Congo-belge le 30 juin 1960, il signa du haut de sa tribune son arrêt de mort devant la Belgique et les puissances occidentales. Et après lui, la suite des événements n’a fait que confirmer cet état d’esprit : malgré la position de l’ONU qui condamnait officiellement la sécession katangaise, les lobbies politiques et financiers belges apportèrent leur soutien à Moïse Tchombe, parce qu’il avait garanti les intérêts de la haute finance belge à travers l’Union Minière du Haut Katanga.
Et enfin, plus tard, durant ses trente deux ans de pouvoir, chaque fois que Mobutu a bien protégé et choyé les intérêts belges, il était considéré en Belgique (ainsi que dans l’Occident d’ailleurs) comme un « facteur de la stabilité pour le Zaïre et la région centrale de l’Afrique », sa dictature était pudiquement considérée comme « un pouvoir fort » devant servir de «bouclier » contre la menace de l’expansion du communisme en Afrique centrale. Mais dès que le même Mobutu égratignait les intérêts des lobbies financiers belges, il redevenait tout d’un coup le « dictateur dangereux et sanguinaire » et la cause principale de la « misère du peuple congolais ».

Et après Mobutu, votre classe politique et votre gouvernement ont continué la même «stratégie» avec Laurent Désiré Kabila. Quand ce dernier avait ménagé les intérêts financiers belges et occidentaux dès les premiers jours de son accession au pouvoir en mai 1997, il fut adulé et encensé à Bruxelles comme étant le «tombeur du dictateur Mobutu » et le « libérateur du peuple congolais». Mais dès le jour où le même Kabila eut l’outrecuidance, quelques mois seulement après, d’arracher le beefsteak Gécamines des dents des lobbies belges pour le donner aux Zimbabwéens et aux Sud-africains, il fut brusquement redevenu « le dangereux maquisard communiste des années 60 qui ne connaît rien aux règles de l’économie capitaliste». Du coup, l’ONU se souvint qu’il avait participé avec le Rwanda aux massacres des réfugiés hutus rwandais et des déplacés congolais, et elle ordonna une enquête.

Ainsi,  le vrai problème réside, à mon humble avis, non dans le contenu des critiques, mais dans les mobiles réels et cachés des hommes politiques et d’affaires belges qui ne recourent à cet usage que lorsque leurs intérêts égoïstes sont menacés, pour régler ainsi leurs comptes aux dirigeants politiques congolais, en se cachant hypocritement et malhonnêtement derrière la « misère du peuple congolais ».
Les Belges ont quitté la RDC physiquement mais pas spirituellement.




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